Si vous suivez ce blog vous le savez sans doute, j’aime inviter et prêter le blog. Aujourd’hui je laisse la main à Katell alias Breizh Cousette sur Instagram. Cette talentueuse et pétillante couturière est une passionnée comme je les aime : La tête pleine d’idées, hyper bienveillante, généreuse, toujours dans le partage, sans arrière-pensée ni jugement… et aussi jolie en vrai qu’en photo ! Katell est depuis plusieurs saisons à l’origine d’une série de défis dont le but est de s’amuser ensemble et d’explorer patrons et tissuthèques puis de savourer les réalisations des unes et des autres. Mais je m’arrête ici et je laisse la parole à Katell…
Étiquette : chemise
Saint John Perse et la décharge
Parmi les films que je connais par cœur et dont je ne lasse pas, il y a les Bronzés (allez ok jetez moi des pierres) et notamment cette scène où on voit Clavier en string réciter du Saint John Perse au bord de l’eau et Balasko se barrer en lui criant « c’est une décharge ton truc »… C’est bête mais en cousant mes chemises Azur, cette scène m’est revenue mais impossible de me souvenir des vers complets… Amis de la poésie bonjour, Atelier Scammit le vaut bien, les voici !
Les fous du volant
Tout le monde dans les startings blocks, façon Mario Kart (ou Satanas et Diabolo suivant les générations). Un modèle de chemise basique à pimper avec de jolis volants, accrochez votre ceinture, on part en virée chez Mimoï patterns rencontrer Eddy.
Épisode 11 : Mission chemise
« Il était une fois 3 filles superbes qui avaient décidé de s’engager dans la police. Mais on les avait cantonnées dans des travaux bien peu passionnants. Alors moi, Charlie, je les ai engagées, et je ne le regrette pas, car ce sont vraiment de Drôles de Dames. »
In Vera we trust
Danse de la joie, les derniers patrons Pauline Alice sont sortis. Pour moi c’est toujours un grand moment de découvrir les nouveautés de cette marque au style bien affirmé, à la fois moderne et rétro. J’ai eu pour cette collection la chance (et l’honneur) de tester la chemisette Vera. Alors c’est parti pour les présentations. Lire la suite
L’esprit de contradiction
Après 15 jours les pieds dans l’eau, un ciel joue aux 50 nuances de gris et un épisode neigeux à venir, je sais pas vous mais moi je rêve de sandales, de limonades en terrasse, de pantalons chinos et de chemises légères… Qui a dit que j’avais l’esprit de contradiction ?
On n’y voit que du bleu !
Je vous avait déjà parlé du bleu dans cet article sous l’angle historique et sociologique. En y repensant je m’aperçois que j’ai un rapport assez ambivalent à cette couleur : je craque souvent pour ce coloris (marine et jean surtout) avant de me raviser (« mouais encore du bleu ») et de me « forcer » parfois à aller vers des nuances plus inhabituelles. Et puis finalement si c’est une couleur dans laquelle je me sens bien, pourquoi s’en priver ? Ne coud-on pas pour porter ce que le l’on coud (plutôt que de succomber à l’imprimé panthère rose pour finalement laisser sa jolie blouse au placard) ? Me réfugier vers le bleu n’est-ce pas aussi pour apprécier encore plus mes parenthèses plus colorées ?
Les jolies rencontres
Ça commence souvent par une question ordinaire, un petit mot banal… Et de fil en aiguille (ok c’était facile) on échange sur le quotidien, on se dévoile et on finit par partager bien plus qu’une addiction aux tissus et patrons.
Back to basics #1
Toujours dans une réflexion sur la couture responsable et dans la continuité de ma série sur la petite robe noire (#1, #2 et #3), j’ai eu envie de vous proposer une série « back to basics » constituée de pièces indispensables de ma garde-robe. Des basiques qui vont à toutes les humeurs, qui s’accordent facilement à plusieurs autres pièces de mon dressing et peuvent prendre une allure tout à fait différente en fonction des accessoires qu’on lui associe. Aujourd’hui, c’est largement inspirée par le travail de ma copine (plus-pour-longtemps-virtuelle) Rébécca que j’entame la série avec : La chemise blanche.
The eye of the tiger
Vous vous souvenez de cette scène des Bronzés font du skis où Nathalie (Josiane Balasko) s’apprête à se lancer du haut d’une pente en râlant : « j’y vais mais j’ai peur » ? Oui ? Alors pour toutes celles (et ceux ?) qui ont été séduits par le patron d’Albane et hésitent par peur de ne pas y arriver, j’ai envie de dire : « On se lance ? »… Et puis en cousant une chemise on ne risque pas grand chose (une luxation de l’aiguille à la limite…).